Le parti doit faire face à des pression externes (des mouvements antifascistes) et à des divisions internes à cinq mois des élections législatives.
A Cologne en Allemagne, le congrès des populistes allemands de l’AfD (Alternative fur Deutschland) a démarré samedi sous très haute tension à cinq mois des élections législatives.
Des milliers de partisans antifascistes ont déjà provoqué des échauffourées. Plus de 50 000 manifestants sont attendus d’ici dimanche.
En Allemagne, un congrès sous tension pour le parti d’extrême droite AfD https://t.co/w0nMC0FVz4
— Le Monde (@lemondefr) 22 avril 2017
A l’Afd, la pression s’exerce aussi en interne. Le parti est profondément divisé entre les tenants d’une ligne contestataire et les partisans d’une ligne franchement xéonphobe.
Malgré ces dissensions, Frauke Petry, la co-présidente de l’AfD est persuadée que son parti parviendra au pouvoir dès 2021.
L’AfD doit se choisir d’ici dimanche un nouveau leader pour mener la prochaine campagne électorale.
Le parti accuse un net recul dans les sondages depuis qu’Angela Merkel a durci le ton contre les migrants.
Avec Agences