XV de France: "Peut-être qu'on aura un peu plus de fraîcheur", espère Gourdon

XV de France: "Peut-être qu'on aura un peu plus de fraîcheur", espère Gourdon
Tous droits réservés 
Par AFP
Partager cet articleDiscussion
Partager cet articleClose Button
Tous droits de reproduction et de représentation réservés. © 2024 - Agence France-Presse.
Tous droits de reproduction et de représentation réservés.© 2024 - Agence France-Presse. Toutes les informations (texte, photo, vidéo, infographie fixe ou animée, contenu sonore ou multimédia) reproduites dans cette rubrique (ou sur cette page selon le cas) sont protégées par la législation en vigueur sur les droits de propriété intellectuelle. Par conséquent, toute reproduction, représentation, modification, traduction, exploitation commerciale ou réutilisation de quelque manière que ce soit est interdite sans l’accord préalable écrit de l’AFP, à l’exception de l’usage non commercial personnel. L’AFP ne pourra être tenue pour responsable des retards, erreurs, omissions qui ne peuvent être exclus dans le domaine des informations de presse, ni des conséquences des actions ou transactions effectuées sur la base de ces informations. AFP et son logo sont des marques déposées.

Les joueurs du XV de France auront samedi contre la Nouvelle-Zélande à Auckland, pour leur premier test de juin, "peut-être un peu plus de fraîcheur" qu'en Afrique du Sud l'a passé où ils étaient "vraiment cramés", a déclaré mercredi le troisième ligne Kévin Gourdon. Le Rochelais est l'un des dix-huit joueurs du groupe de 32 à avoir disputé son dernier match le 5 mai, à l'occasion de la dernière journée de la saison régulière de Top 14. Et seulement trois ne sont arrivés en Nouvelle-Zélande que ce mercredi après avoir joué la finale du championnat samedi (Babillot, Fall et Galletier) quand, l'an passé, de nombreux Toulonnais et Clermontois avaient rejoint en cours de route en Afrique du Sud le XV de France, lourdement battu à trois reprises. "Peut-être que ce sera différent, qu'on aura un peu plus de fraîcheur qu'en Afrique du Sud où on était vraiment cramés. On va essayer de +matcher+ (rivaliser)" a commenté Gourdon, qui avait lui en 2017 participé aux demi-finales du Top 14. "On va voir où on en est, même si ça arrive en fin de saison, ces tournées-là sont toujours compliquées" a ajouté le troisième ligne, satisfait du programme spécifique concocté par l'encadrement des Bleus entre la fin du Top 14 et le départ pour la Nouvelle-Zélande le 28 mai. "Ca piquait un peu car c'était vraiment de la préparation, pas vraiment de l'entretien. On a pu bien travailler après ce qu'il fallait comme repos après la saison pour être bien dans la tête" a-t-il ainsi expliqué. Gourdon (28 ans, 16 sél.) a par ailleurs estimé que le premier test, à l'Eden Park d'Auckland, serait "déterminant pour la suite" et les deux rencontres suivantes, le 16 juin à Wellington et le 23 à Dunedin. Les Bleus, qui n'ont gagné que quatre fois en Nouvelle-Zélande dans leur histoire (1979, 1994 à deux reprises, et 2009), ont-ils une carte à jouer sur le terrain des doubles champions du monde en titre? "Je ne sais pas", a répondu le pilier droit Cedate Gomes Sa. "Il faut qu'on se concentre sur nous et non sur la victoire absolue. Si on se concentre sur nous, sur ce qu'on va pouvoir développer, sur le fait de donner pour les copains d'à côté, prendre du plaisir, le résultat sera forcément au bout" a-t-il ajouté.

Partager cet articleDiscussion

À découvrir également

Riner, Malonga et Tolofua en finale au Grand Slam d'Antalya

Grand Chelem de Judo d'Antalya : un podium dominé par la Corée du Sud et l'Autriche

Grand Chelem de Judo d'Antalya : Hifumi et Uta Abe dominent le podium