Une mesure qui alimente les suspicions de fraudes au moment crucial de la centralisation des résultats.
En République Démocratique du Congo, la tension est à son comble, alors que le dépouillement du scrutin présidentiel se poursuit.
L'accès à internet est coupé depuis le 31 décembre au matin pour, selon les autorités, éviter un "soulèvement populaire". Mais cette mesure provoque la colère de l'opposition et de la société civile, qui craignent des fraudes.
Cette élection cruciale pour le pays doit désigner le successeur du président Joseph Kabila. Mais les deux principaux candidats de l'opposition ont déjà contesté le déroulement des opérations de vote.
Selon la Commission électorale indépendante, les premiers résultats devraient être communiqués le 6 janvier prochain .