Il a eu lieu à Varsovie en Pologne, et a réuni les dirigeants de Chypre, Estonie, Hongrie, Lettonie, Lituanie, Malte, Pologne, République Tchèque, Slovaquie et Slovénie, Bulgarie et Roumanie, et Croatie, la petite dernière, arrivée en 2014.
Un sommet européen pour les derniers arrivants. Il a eu lieu à Varsovie en Pologne, et a réuni les dirigeants de Chypre, Estonie, Hongrie, Lettonie, Lituanie, Malte, Pologne, République Tchèque, Slovaquie et Slovénie, Bulgarie et Roumanie, et Croatie, la petite dernière, arrivée en 2014.
A l'occasion des quinze ans de l'adhésion de dix d'entre eux à l'Union européenne, ces pays veulent continuer de se faire entendre, mais le président polonais reconnaît les avantages européens : "L'adhésion à l'Union européenne a changé de nombreux domaines de notre vie. C'est devenu un défi pour nous, mais cela nous a également apporté de nombreux avantages. L'ouverture des frontières a donné aux Polonais de nouvelles opportunités. De nombreuses entreprises polonaises ont connu le succès en Europe, tandis que la Pologne a changé grâce aux fonds européens bien utilisés".
Fonctionnement de la zone Schengen, "trou" de la TVA non perçue, protectionnisme des pays d'Europe occidentale : les dirigeants présents au Sommet veulent gagner du poids, à un mois des élections.
Petite ombre au tableau néanmoins, le vice président finlandais de la Commission Européenne, Jyrki Katainen, invité au sommet de Vrasovie, a tenu à rappeler à la Pologne qu'elle devait cesser de considérer l'Union Européenne comme une "vache à lait".