Paris dénonce la présence d'activistes de No Border à Calais

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Par Euronews
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Ces militants d’extrême gauche, venu des Pays-Bas ou encore de Belgique, sont accusés par les forces de l’ordre d’inciter les demandeurs d’asile à la

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Ces militants d’extrême gauche, venu des Pays-Bas ou encore de Belgique, sont accusés par les forces de l’ordre d’inciter les demandeurs d’asile à la violence, notamment contre la police, ces derniers jours.

Calais : des militants de “No Border“ “poussent les migrants à l'émeute” https://t.co/e0yq2N7wL2

— Le Point (@LePoint) 11 Novembre 2015

D’autres associations sont également dans la ligne de mire de la police, à l’image de Yorkshire Aid dont Rick Mellang est le fondateur : “nous incitons sans doute à la rébellion reconnaît-il. Nous distribuons des objets pour les aider à passer par dessus les barrières. Si on ne fait rien, il mourront de froid”.

4 500 personnes vivent dans ce camp dans l’espoir de rejoindre l’Angleterre. Une situation de plus en plus difficile à vivre pour les riverains, à l’image de Bernard : “j’espère qu’ils vont faire quelque chose pour les faire partir de là. Je n’y crois pas trop, mais j’espère qu’au moins ils vont essayer de mettre des sécurités pour les empêcher de sortir et qu’ils restent cloîtrés dans leur camp parce que là ça devient insupportable. C’est invivable.”

Certains demandeurs d’asile se sont introduits dans les jardins de maisons proches pour y voler une poubelle ou une palissade, afin de bloquer les routes et monter dans les camions qui vont en Angleterre.

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