Le scandale Volkswagen a donné l’occasion de repenser l’avenir du Diesel dont les moteurs, très décriés depuis l’affaire de logiciels truqués du
PUBLICITÉLe scandale Volkswagen a donné l’occasion de repenser l’avenir du Diesel
dont les moteurs, très décriés depuis l’affaire de logiciels truqués du groupe automobile allemand mise à jour le 18 septembre aux Etats-Unis, ont continué de céder du terrain en septembre – ils restent cependant majoritaires à 55.3 %.
Le constructeur allemand à lui décliné en septembre, l’action Volkswagen a cédé plus de 23% sur les places boursières européennes, plongeant ainsi à son plus bas niveau en 6 mois.
Le groupe allemand aux 12 marques, dont Porsche, Audi et Seat reste cependant leader sur le marché européen.
Ses ventes ont augmenté de 8.4% en un an, soit 315 905 véhicules de plus vendus, alors que la production industrielle a augmenté de 9.8 %.
Le groupe PSA Peugeot-Citroën, deuxième constructeur automobile européen, s’est quant à lui octroyé près de 10% de parts de marché, ce qui est un peu inférieur à son résultat un an plus tôt, de 10.3%.
Avec agences