Dans le sous-sol d'un magasin de mobilier parisien, cinq personnes suivent secrètement des cours de karaté, malgré l'interdiction due à la crise sanitaire.
Simon, le propriétaire de la boutique, pratiquant le karaté depuis plus de 20 ans, a accepté depuis cet hiver d'accueillir entre midi et deux plusieurs karatékas dans son «showroom», une salle souterraine où sont stockés ses meubles vernis.
Sonia pratique des sports clandestins depuis des semaines pour préserver sa santé mentale. Pour cette doctorante en archéologie, pratiquer régulièrement son art martial est un besoin vital en cette période.
La pratique du sport en plein air est toujours autorisée en France, mais elle est presque totalement interdite à cause du couvre-feu à 18 heures.
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