Dimanche studieux pour le gouvernement grec, qui peaufine les propositions de réforme qu’il doit présenter ce lundi à Bruxelles. Une première version
Dimanche studieux pour le gouvernement grec, qui peaufine les propositions de réforme qu’il doit présenter ce lundi à Bruxelles.
Une première version a déjà été envoyée, elle sera probablement revue et corrigée avant d‘être soumise à l’Eurogroupe demain.
S’engager sur des réformes crédibles, c’est la condition qu’Athènes doit remplir pour obtenir l’extension de quatre mois du financement de son économie par les “Institutions”, l’ancienne Troïka.
Grand vainqueur des législatives de janvier, le gouvernement d’Alexis Tsipras peut compter pour l’instant sur un fort soutien populaire.
“Je n’ai pas peur, affirme cette femme. Je n’ai pas d’argent, je ne suis pas inquiète, voilà pourquoi ! Je n’ai pas d‘épargne, je fais partie de la classe moyenne qui n’a jamais eu beaucoup d’argent, on vit au jour le jour. Je ne suis pas inquiète et je fais confiance au gouvernement”.
Nikos Pappas, un bras droit du Premier ministre, a averti aujourd’hui que certaines réformes ne seraient “pas négociables”.