Rien n’est moins sûr. On assiste néanmoins à un changement de rhétorique de la diplomatie russe qui affirme, contrairement à l'allié iranien de
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Rien n’est moins sûr. On assiste néanmoins à un changement de rhétorique de la diplomatie russe qui affirme, contrairement à l'allié iranien de Damas, ne pas forcément tenir à ce que le président syrien reste au pouvoir.
“ Nous n’avons jamais dit qu’Assad devait partir ou rester, insiste la porte-parole de la diplomatie russe, Maria Zakharova. Ce que nous avons dit, c’est que l‘État syrien est l’une des clés de la lutte contre le terrorisme, parce que sans la Syrie, il n’y aurait personne pour combattre le terrorisme sur le terrain “.
Alors que le Kremlin et le Pentagone poursuivent leurs raids aériens, les échanges en vue d’une résolution politique du conflit se multiplient. L‘émissaire de l’ONU pour la Syrie doit rencontrer aujourd’hui le chef de la diplomatie russe pour tenter de renouer le dialogue entre Damas et l’opposition syrienne.