Le regard de l’Otan vers l’Est

Le secrétaire général de l'Otan Jens Stoltenberg
Le secrétaire général de l'Otan Jens Stoltenberg Tous droits réservés REUTERS/Paul Hanna
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Par Grégoire Lory
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Après les questions budgétaires, les chefs d’Etat et de gouvernement de l’Alliance ont évoqué les coopérations avec les pays hors de l’Otan.

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La seconde journée du sommet de l'Otan était principalement consacrée aux relations avec les partenaires situés sur le flanc est de l'Alliance. Le nouveau Premier ministre arménien a saisi l'occasion de clarifier sa position. "Nous espérons développer nos relations avec la Russie mais aussi avec l'Otan, avec les pays d'Europe occidentale, avec l'Union européenne et avec les Etats-Unis", détaille Nikol Pachinian.

Les dirigeants géorgien et ukrainien ont rappelé leur souhait de renforcer leur coopération avec l'Otan. Pour le directeur de l'initiative de sécurité transatlantique au sein du Conseil de l'Atlantique, Magnus Nordenman, l'Alliance a les moyens politiques et logistiques pour accueillir de nouveaux membres comme l'Ukraine, la Géorgie, la Suède, la Finlande. "Je pense qu'il y a de la place dans le bâtiment. Cela montre que les portes de l'Otan restent ouvertes", explique-t-il.

Finalement tout le monde a suivi avec attention l'intervention du président américain à propos de sa rencontre dans les prochains jours avec son homologue russe. Donald Trump estime qu'il est plus facile pour lui de parler avec le président russe qu'avec ses alliés européens. Ces derniers ont essayé de le convaincre d'adopter une position de fermeté à l’égard de Moscou.

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