La question migratoire était au cœur de la campagne du Brexit.
PUBLICITÉLa question migratoire était au cœur de la campagne du Brexit. En réponse, la Première ministre britannique dit vouloir réduire le nombre d’arrivées à 100 000 personnes par an. Les derniers chiffres montrent déjà que moins de ressortissants de l’Union européenne se rendent au Royaume-Uni.
Les citoyens britanniques et irlandais profitent d’une liberté de mouvement entre les deux pays puisqu’ils font parti de la zone commune de circulation. Mais avec le Brexit le risque de voir une frontière réapparaître entre l’Irlande du Nord et la République d’Irlande est grand. Le Premier ministre irlandais était à Bruxelles pour obtenir le soutien du président de la Commission européenne.