Acheminement du débris du "Boeing 777" de La Réunion vers l'Hexagone

Acheminement du débris du "Boeing 777" de La Réunion vers l'Hexagone
Tous droits réservés 
Par Euronews
Partager cet articleDiscussion
Partager cet articleClose Button
Copier/coller le lien embed de la vidéo de l'article :Copy to clipboardLien copié

Un numéro partiel sur le débris d’avion retrouvé à La Réunion “confirme qu’il provient d’un Boeing 777”. C’est ce qu’a indiqué ce vendredi le

PUBLICITÉ

Un numéro partiel sur le débris d’avion retrouvé à La Réunion “confirme qu’il provient d’un Boeing 777”. C’est ce qu’a indiqué ce vendredi le ministère malaisien des Transports. Mais il faudra encore faire preuve de patience avant de savoir si le fragment d’aile appartient bien à l’appareil de la compagnie Malaysia Airlines mystérieusement disparu le 8 mars 2014. Ce fragment et d’autres objets ont été retrouvés par des membres d’une association de nettoyage mercredi sur la plage de Saint-André dans le nord-est de l‘île.

“Ce jour-là, vers 5h, je suis allé chercher un morceau de caillou, un morceau de pierre pour piler les épices. Et c’est là que j’ai vu les débris d’avion, a raconté Johnny Bègue. “Au même endroit, dans les galets, un peu plus haut, à un mètre de l’aile de l’avion, on a retrouvé une bouteille où est écrit Indonesia Jakarta, a précisé Philippe Sidam, président de l’association. Nous ici, à la Réunion, on n’a pas trop de produits (indonésiens). Moi, personnellement, je ne connais pas de produits indonésiens (destinés à) La Réunion.”

Le morceau d’aile, long de deux mètres, doit être transporté à Toulouse via un vol commercial d’Air France qui devait partir ce vendredi soir puis via un acheminement par la route, selon des sources aéroportuaires. Le fragment sera expertisé la semaine prochaine par un laboratoire dépendant du ministère de la Défense.

AVec AFP

Partager cet articleDiscussion

À découvrir également

Un an après, les différentes théories sur la disparition du vol MH370

Le Moulin rouge à Paris privé de ses ailes après un incident

Les journalistes ont eu un accès rare au sous-marin français à propulsion nucléaire de classe Rubis