La première banque privée allemande et la Chancellerie tentent en vain de faire taire les rumeurs de presse qui ont fait plonger l'action Deutsche Bank à un plus bas historique mardi.
La Deutsche Bank à l’unisson avec Berlin pour tenter de faire taire les rumeurs sur un plan de sauvetage public.
Le patron du colosse bancaire allemand, le britannique John Cryan, assure dans les colonnes du journal le plus lu d’Allemagne, Bild, n’avoir jamais démarché la chancelière Merkel en ce sens.
#JohnCryan in
BILD</a> interview: government aid is not an option for <a href="https://twitter.com/hashtag/DeutscheBank?src=hash">#DeutscheBank</a></p>— Deutsche Bank (
DeutscheBank) 28 septembre 2016
La banque est menacée d’une amende record de plus de 12 milliards d’euros aux Etats-Unis, liées à la crise des subprimes. Pour démontrer sa capacité à trouver des fonds, elle a annoncé la cession de sa filiale d’assurance Abbey Life pour 1,1 milliard d’euros.
L’hebdomadaire Die Zeit à paraître ce jeudi revient pourtant à la charge et affirme que Berlin négocie avec Bruxelles un éventuel sauvetage de la Deutsche Bank. La banque et le Ministère des Finances ont, là encore, démenti de concert.
Trotz aller Dementi arbeitet die Bundesregierung an einem Notfallplan für die Deutsche Bank, berichtet
DIEZEIT</a>. <a href="https://t.co/eefQBqtPK9">https://t.co/eefQBqtPK9</a></p>— ZEIT ONLINE (
zeitonline) 28 septembre 2016
Avec AFP