Lyon : "Que la lumière soit !"

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Par Euronews
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“Que la lumière soit !

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“Que la lumière soit !” et elle le fut une fois de plus à Lyon en ce début décembre.

Annulées l’an dernier les illuminations du 8 décembre, ce grand festival lumineux aux origines religieuses et qui s’est rependu dans toute la ville s’est tenu dans un espace plus restreint et avec des normes de sécurité beaucoup plus strictes.

Jean-François Zurawik : “On est sur une densité de création plus importante qu’en temps normal. Et on espère que le public appréciera ces parcours qui sont effectivement totalement sécurisés.”

Les illuminations proposent pas moins de 41 projets dont cet étonnant 3D sur la façade de la cathédrale St Jean avec le groupe EZ3kiel.

Yann Nguema : “L’idée c’est de jouer avec les pierres, pas avec le volume comme la plupart des autres artistes, qui font des mappings. Il ya une grosse phase de dessin, on joue à dessiner toutes les pierres et il y en a 12000 à dessiner. Après je trouve des scénarios pour mettre en mouvement les lignes de chaque pierre. et donc c’est des chutes, des envolées, des choses qui se gonflent, qui se dégonflent. C’est un jeu avec les lois de la physique.”

Le théâtre antique a accueilli “Incandescens” directement projeté sur les gradins romains.

Siman Milleret-Godet : “On a voulu travailler sur la thématique du théâtre d’ombre. Ça avait du sens pour nous de travailler aussi avec la flamme. qui a été un peu la première source de lumière qu’il y a pu avoir dans ces lieux. Et on a composé du coup une histoire autour de ces deux personnages qui vont se rencontrer. La flamme va entraîner la fille dans différents mondes.”

A l’intérieur de la cour de l’Hôtel de Ville “Platonium”, une coproduction artistique avec le CNRS.

Akari-Lisa Ishil & Eric Michel : “Le tissu qui est tissé de fibre optique, c’est vraiment le ruban qui est utilisé dans leur laboratoire au CNRS pour analyser des phénomènes autocatalystes. C’est à dire dépollution de l’air et de l’eau en utilisant de l’air et certains particules chimiques.”

“Coups de coeur” au Théâtre des Célestins, une sorte de “love machine” (sans Guy Marchand).

Franck Pelletier : “Vous avez donc deux disques avec des capteurs de rythme cardiaque qui sont mis à votre disposition. Donc là on va justement essayer de prendre notre pulsation cardiaque de couple. Et là attention, suspense. Il faut rester philosophe, parce qu’il y en a pour tout le monde justement.”

Raccourcie d’une journée la Fête des Lumières a ses inconditionnels et ses nouveaux adeptes. Lors de sa précédente édition elle avait accueilli 3 millions de visiteurs.

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