Oleksandra Vakulina et Sarah Chappell reviennent sur l'agenda politique et économique du Forum de Davos dans un monde déboussolé par les événements tumultueux de 2016.
PUBLICITÉChaque année en janvier, les décideurs économiques et politiques mettent le cap sur la Suisse pour le Forum économique mondial. Cette année ne ressemble pourtant à aucune autre en termes d’agenda politique mondial.
L’an dernier, personne à Davos n’aurait parié que l‘édition 2017 se tiendrait à la veille de l’investiture de Donald trump comme président des Etats-Unis d’Amérique.
Davos : le président chinois défend le libre-échange face au protectionnisme de M. Trump https://t.co/ZeR4fPKoPl
— Le Monde (@lemondefr) 17 janvier 2017
En 2016, le premier ministre britannique d’alors, David Cameron, avait prononcé un discours axé sur son objectif de garantir l’avenir de la Grande Bretagne au sein d’une Union européenne réformée. Il y a 12 mois tout juste, il affirmait que le meilleur scénario pour la Grande Bretagne l‘était aussi pour l’Europe.
“Si l’on parle de choses comme compléter le marché unique,“ disait-il, “vous ne trouverez pas de pays plus dévoué que la Grande Bretagne pour mener le travail à bien.“ C‘était quelques mois avant le vote sur la sortie de l’Union européenne.
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David_Cameron</a> 's 4-point plan for avoiding <a href="https://twitter.com/hashtag/Brexit?src=hash">#Brexit</a> <a href="https://t.co/aUhMI1T5Ts">https://t.co/aUhMI1T5Ts</a> <a href="https://twitter.com/hashtag/Europe?src=hash">#Europe</a> <a href="https://t.co/8Wc3JclIYq">pic.twitter.com/8Wc3JclIYq</a></p>— World Economic Forum (Davos) 7 février 2016
Un an plus tard, la Grande Bretagne est représentée par Theresa May. La Première ministre britannique a pris le chemin de Davos juste après avoir enfin exposé sa stratégie du Brexit.
PM: Today I have set out a clear vision for a stronger, fairer, Global Britain as we leave the European Union https://t.co/NhBoQeUltzpic.twitter.com/q5VpgTKjVv
— UK Prime Minister (@Number10gov) 17 janvier 2017
Nous évoquons cette nouvelle donne avec notre envoyée spéciale à Davos, Sarah Chappell.