On dénombre 386 variantes de ce mets, inscrit au patrimoine immatériel de l'UNESCO.
Le dolma, c'est le roi de la gastronomie azerbaïdjanaise. L'amour de ce plat, dont il existe de nombreuses déclinaisons, unit toutes les régions et nationalités du pays sans exceptions. Le Dolma d'Azerbaïdjan est même inscrit au patrimoine immatériel de l'Unesco.
"Le dolma est l'un des piliers de la cuisine azerbaïdjanaise, on dénombre 386 variantes de ce mets", précise notre reporter Galina Polonskaya.
Agneau, riz, légumes, menthe, coriandre, feuilles de vignes - les produits frais locaux font les délices du dolma d'Azerbaïdjan.
"Rouler le dolma est un art, et chacun a ses petits secrets pour bien le faire", rappelle notre reporter, accompagnée de Jeyran Askerova, vice présidente du Centre national culinaire d'Azerbaïdjan.
Jeyran a appris à cuisiner le dolma grâce à sa grand mère, comme le veut la tradition. Ici, la recette se transmet de génération en génération.
Complexe et élégant
"La complexité du dolma, c'est qu'il doit être très petit, il doit être roulé de manière élégante. Le dolma doit être bien rond et les feuilles ne doivent surtout pas s'ouvrir pendant la cuisson", met en garde Jeyran Askerova.
En Azerbaïdjan, on n'imagine pas un repas de fête sans dolma. C'est simple : quand il y a du Dolma sur la table, cela veut dire que c’est la fête !