Julian Assange assure que Donald Trump lui aurait offert de le gracier s'il disculpait la Russie des fuites d'Emails internes au Parti démocrate, la Maison blanche parle de pure invention.
Alors qu'il fait l'objet d'une demande d'extradition vers les Etats-Unis, Julian Assange assure que Donald Trump lui a proposé de le gracier s'il affirmait que Moscou n'était pas impliqué dans la fuite des Email internes au Parti démocrate américain.
Le fondateur de Wikileaks aurait été approché par le député républicain Dana Rohrabacher qui lui aurait formulé l'offre.
L'avocate de Julian Assange Jennifer Robison assure être en possession d'un document qui fait état de la proposition.
La juge considère que la preuve est admissible alors que de son côté, la Maison Blanche parle d'une "pure invention" et assure que le président américain "ne connaît quasiment rien de Dana Rohrabacher", le député républicain qui, selon Julian Assange, aurait été mandaté par Donald Trump.
La justice américaine ne poursuit pas Julian Assange pour les fuites des Emails au sein du Parti démocrate mais lui reprochent d'avoir mis en danger certaines sources en publiant des documents confidentiels.