Les recherches se poursuivent en mer Méditerranée pour retrouver l‘épave de l’Airbus A320 d’Egyptair porté disparu depuis jeudi matin.
Les recherches se poursuivent en mer Méditerranée pour retrouver l‘épave de l’Airbus A320 d’Egyptair porté disparu depuis jeudi matin.
Le navire militaire envoyé par la France, le patrouilleur de haute-mer (PHM) Jacoubet est attendu sur zone d’ici à ce lundi. A son bord, des équipements censés permettre de localiser notamment les boîtes noires, même dans des grandes profondeurs.
Le PHM Jacoubet appareille de
VilleDeToulon</a> pour participer aux opérations d'investigation du vol <a href="https://twitter.com/hashtag/EgyptAir?src=hash">#EgyptAir</a> <a href="https://t.co/s5DeqA28UG">pic.twitter.com/s5DeqA28UG</a></p>— Marine nationale (
MarineNationale) 20 mai 2016
Pour l’heure, les raisons du crash restent très floues.
A en croire un enregistrement audio qui vient d‘être publié, rien ne semblait anormal à bord de l’appareil. On entend l‘échange entre le pilote et un contrôleur aérien. Ils se souhaitent “Bonne nuit”. C‘était 2 heures avant la perte de contact.
L’Airbus a subitement chuté quelque part entre la Grèce et l’Egypte.
#EgyptAir Un “membre humain”, des sièges et valises parmi les débris https://t.co/tX69iVmO4U#AFPpic.twitter.com/r1Q7NBcwL1
— Agence France-Presse (@afpfr) 20 mai 2016
Plusieurs sources affirment que des signaux d’alerte ont été lancés, indiquant “de la fumée en cabine”, sans qu’on sache l’origine de cette fumée.
Les autorités égyptiennes qui supervisent les recherches, ont diffusé les images de débris repêchés en mer. Des débris qui appartiendraient au vol MS804.
L’avion d’Egyptair assurait la liaison entre Paris et Le Caire.
A son bord, 66 personnes, en majorité des Egyptiens, mais aussi 15 ressortissants français.