Ni la pluie ni le vent n’ont empêché les Brésiliens et les touristes de faire une dernière photo le long de la plage de Copacabana.
Ni la pluie ni le vent n’ont empêché les Brésiliens et les touristes de faire une dernière photo le long de la plage de Copacabana. Une dernière soirée des JO teintée de mélancolie et de plaisir pour tous ceux qui ont pu assister à ces Olympiades.
“C‘était incroyable d‘être à Rio explique un Brésilien. Je ne m’attendais pas à un tel engouement de la population. Quand vous voyez les JO organisés dans d’autres pays, c’est passionnant. Mais quand ils se déroulent à la maison, c’est encore plus excitant.”
Sur le boulevard olympique, certains assistent à la cérémonie de cloture sur les écrans géants, d’autres entonnent l’hymne brésilien. En 19 jours de compétition, Rio de Janeiro, première ville en Amérique du Sud à accueillir les Jeux olympiques, a reçu des délégations issues de 208 pays qui se sont affrontées dans 42 disciplines.
“Evidemment quand ce sont les premiers Jeux olympiques, il y a toujours des choses qui ne fonctionnent pas souligne un touriste britannique. C’est pareil à chaque événement majeur, il y a eu aussi des problèmes à Londres. Avec un nombre considérable de personnes qui se déplacent dans une ville, avec des lieux assez éloignés, c’est difficile, mais tout s’est arrangé progressivement.”
“Quel est l’héritage des Jeux Olympiques pour le Brésil ? L‘énorme investissement va-t-il améliorer les conditions générales de la population ? C’est à présent aux autorités de faire en sorte que cet événement colossal ne se transforme pas en fiasco” souligne Rafael Batista, envoyé spécial d’euronews à Rio de Janeiro.
avec AFP