Newsletter Newsletters Events Évènements Podcasts Vidéos Africanews
Loader
Suivez-nous
Publicité

France : des mesures controversées sur l'immigration

France : des mesures controversées sur l'immigration
Tous droits réservés 
Par Euronews avec AFP
Publié le Mis à jour
Partager cet article Discussion
Partager cet article Close Button
Copier/coller le lien embed de la vidéo de l'article : Copy to clipboard Lien copié

Le gouvernement français s'apprête à détailler des mesures, notamment la fixation de quotas pour l'immigration économique.

PUBLICITÉ

La droite avait renoncé sous Nicolas Sarkozy. Sous Emmanuel Macron, le gouvernement semble prêt à franchir le Rubicon. La France s'apprête à adopter des quotas d'immigrés économiques. La ministre du Travail, Muriel Pénicaud, l'a confirmé à la veille des annonces promises par l'exécutif. Il s'agirait de fixer chaque année des objectifs chiffrés d'immigrés professionnels en fonction des besoins du marché du travail et ce dès l'été 2020. 

Dans les filières en tension comme la restauration ou le bâtiment, l'idée est plutôt bien accueillie, mais à gauche comme à droite les critiques fusent. Si les premiers crient à la droitisation électoraliste, les seconds soulignent que l'immigration économique ne représente que 33 000 titres de séjour sur les 256 000 délivrés l'an dernier, bien moins que ceux accordés aux conjoints, aux étudiants et aux réfugiés.

Autre mesure qui fait débat : un accès aux soins restreint avec notamment l'instauration d'un délai de carence de trois mois avant que les demandeurs d'asile ne puissent accéder à la Protection universelle maladie et la nécessité d'un accord préalable de la Sécurité sociale pour certains actes non-urgents dans le cadre de l'Aide médicale d'État.

Accéder aux raccourcis d'accessibilité
Partager cet article Discussion

À découvrir également

Emmanuel Macron : "Je déclare que la France reconnaît aujourd'hui l'État de Palestine"

Reconnaissance de l'État palestinien : drapeaux palestinien et israélien sur la Tour Eiffel

France : Sébastien Lecornu annonce mettre fin aux avantages "à vie" des anciens Premiers ministres