#euroviews : Junqueras libre, la Russie face au coronavirus, incidents à la frontière hongroise

#euroviews : Junqueras libre, la Russie face au coronavirus, incidents à la frontière hongroise
Tous droits réservés Euronews
Tous droits réservés Euronews
Par Euronews
Partager cet articleDiscussion
Partager cet articleClose Button
Copier/coller le lien embed de la vidéo de l'article :Copy to clipboardLien copié

Le zapping des rédactions d'euronews. A la Une aujourd'hui, des informations traitées par nos bureaux espagnol, russe et hongrois.

PUBLICITÉ

Notre rédaction espagnole revient sur ces images tournées au Parlement régional à Barcelone : on y voit l'ex-vice président catalan, Oriol Junqueras, qui a été autorisé exceptionnellement à sortir de prison afin de comparaître avec cinq autres leaders indépendantistes devant une commission d'enquête parlementaire. Il s'agit de sa première apparition publique depuis sa condamnation en octobre dernier à treize ans de prison pour son rôle dans la tentative de sécession de la Catalogne.

Notre rédaction russe évoque les inquiétudes en Russie liées au coronavirus, en particulier dans les régions frontalières de la Chine, où la demande en médicaments antiviraux et en masques chirurgicaux a augmenté ces derniers jours. L'oblast de l'Amour, frontalier de la Chine, a introduit des mesures sanitaires supplémentaires. La Russie travaillerait par ailleurs sur un vaccin, pour faire face à une éventuelle épidémie.

Notre bureau à Budapest se penche sur des incidents survenus à l'aube ce mardi à la frontière entre la Hongrie et la Serbie. La police hongroise a effectué des tirs de sommation pour repousser une soixantaine de migrants qui tentaient de s'introduire dans le pays à par une brèche dans la clôture érigée entre les deux États. Cette clôture longue de 175 kilomètres avait été décidée par le gouvernement Orban, au pic de la crise migratoire.

Partager cet articleDiscussion

À découvrir également

Des avoirs russes gelés pour acheter des armes à l'Ukraine ?

Allemagne : deux hommes soupçonnés d'espionnage pour la Russie arrêtés

Géorgie : 20 000 personnes contre la "loi russe"