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Le chef de l'OTAN rencontre Giorgia Meloni à Rome

Mark Rutte et Giorgia Meloni
Mark Rutte et Giorgia Meloni Tous droits réservés  Roberto Monaldo/LaPresse
Tous droits réservés Roberto Monaldo/LaPresse
Par Euronews
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Après l’Allemagne, Mark Rutte est à Rome, en Italie, pour rencontrer Giorgia Meloni. Au cœur de leurs discussions : la guerre en Ukraine.

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En juillet 2025, l’Italie accueillera la prochaine conférence sur la reconstruction du pays, ravagé par plus de deux années de conflit avec la Russie.

Depuis qu'il a pris ses fonctions il y a quelques mois, le secrétaire général de l'OTAN s'est efforcé de renforcer le soutien de l'Occident à l'Ukraine.

"En ce qui concerne l'Ukraine, nous mettons en place un nouveau commandement, sur l'assistance et la formation à la sécurité de l'OTAN pour l'Ukraine, qui deviendra pleinement opérationnel dans les mois à venir, et nous sommes en bonne voie pour tenir notre promesse de fournir à l'Ukraine un soutien militaire de 40 milliards d'euros en 2024. Nous continuerons à soutenir l'Ukraine, car le combat de l'Ukraine est notre combat", a déclaré le chef de l'OTAN.

Giorgia Meloni plaide, de son côté, pour une plus grande implication des pays européens dans l’OTAN.

"Comme vous le savez tous, nous pensons qu'il est nécessaire qu'à côté du pilier nord-américain de l'alliance, il y ait un pilier européen. C'est une vision que nous partageons avec le nouveau secrétaire général de l'OTAN, et nous pensons qu'il est essentiel pour nous tous de travailler sur une industrie européenne de la défense qui soit innovante et compétitive, où l'OTAN et l'Union européenne pourraient se compléter mutuellement", a déclaré la cheffe du gouvernement italien.

Alors que les troupes ukrainiennes sont en difficulté, les pays de l’OTAN sont divisés sur l’aide à apporter à Kyiv. L’Italie par exemple, est opposée à l'utilisation par l'Ukraine de missiles à longue portée contre des cibles sur le sol russe.

L’Allemagne n’y est pas favorable non plus. Lors de leur rencontre à Berlin, le chef de l’OTAN et Olaf Scholz ont abordé un autre sujet source d’inquiétude : l’implication des États-Unis dans l'Alliance en cas de victoire de Donald Trump à la présidentielle.

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