La Grèce est une nouvelle fois à l’ordre du jour de la réunion à Bruxelles des ministres des Finances de la zone euro.
La Grèce est une nouvelle fois à l’ordre du jour de la réunion à Bruxelles des ministres des Finances de la zone euro. Athènes a adopté les réformes réclamées par ses créanciers et attend donc une nouvelle tranche d’aide. La question est de savoir quel sera le montant de cette enveloppe.
Les autres enjeux de la rencontre concernent la participation du FMI, le Fond monétaire international, à ce plan d’aide et un éventuel allègement de la dette grecque. Mais à son arrivée le président de l’Eurogroupe a immédiatement fixé les limites, « il n’y aura pas de décote de la dette grecque ». Jeroen Dijsselbloem estime aussi que l’intervention du FMI au plan est essentielle. En échange de sa participation l’institution internationale demande cependant la mise en œuvre d’un allègement substantiel de la dette grecque. Mais cette solution est rejetée par certains États membres et en particulier l’Allemagne.
Il n'y aura pas de décote de la dette grecque
Président de l'Eurogroupe