Newsletter Newsletters Events Évènements Podcasts Vidéos Africanews
Loader
Suivez-nous
Publicité

Des tests confirment que les armes à feu en 3D peuvent être fatales

Des tests confirment que les armes à feu en 3D peuvent être fatales
Tous droits réservés 
Par Euronews
Publié le
Partager cet article Discussion
Partager cet article Close Button
PUBLICITÉ

Les armes à feu fabriquées grâce aux imprimantes 3D échapperaient aux détecteurs de métaux, c’est l’une des craintes de l’ATF, le bureau américain de l’alcool, du tabac, des armes à feu et des explosifs. D’autant plus que ces armes « faites maison » sont potentiellement mortelles.

C’est sur le « liberator », une arme à feu créée par Cody Wilson, un étudiant en droit de l’Université du Texas, que l’ATF a effectué des tests. Dans une vidéo postée sur Youtube en mai dernier, le concepteur de l’arme apparaissait avec son nouveau pistolet en plastique et donnait des instructions pour le fabriquer. Beaucoup d’internautes l’ont alors imité et Cody Wilson est devenu une quasi-célébrité, multipliant les interviews à la télé pour expliquer ses motivations.

Ces armes en plastique représentent un « problème de sécurité publique pour les Américains car elles peuvent déjouer les détecteurs de métaux », a déclaré Richard Marianos, le directeur adjoint d’ATF pour les affaires publiques et gouvernementales.

L’annonce des résultats de ces tests arrive moins d’un mois avant l’expiration de la loi de 1988 qui interdit la fabrication et la possession des armes à feu en plastique, telles que celles produites par les imprimantes 3D.

Ces armes à feu représentent également un risque pour les tireurs. Sur une vidéo, on peut voir un prototype du « liberator » fabriqué par l’ATF exploser une fois le détonateur enclenché.

Accéder aux raccourcis d'accessibilité
Partager cet article Discussion

À découvrir également

Qui est Tyler Robinson, le jeune homme arrêté pour le meurtre de Charlie Kirk ?

Charlie Kirk, l'influenceur conservateur proche de Trump, tué dans une fusillade en Utah

La campagne de vengeance de Trump traverse-t-elle l'Atlantique ?