Son premier Vice-président, Frans Timmermans a expliqué devant les députés européens qu’il pouvait y avoir de la flexibilité, mais que la solidarité
Son premier Vice-président, Frans Timmermans a expliqué devant les députés européens qu’il pouvait y avoir de la flexibilité, mais que la solidarité devait prévaloir dans le mécanisme de “relocalisation temporaire des demandeurs d’asile”. La plupart des eurodéputés ont salué le dispositif dont les détails seront présentés la semaine prochaine.
“Je sais que ce sont des propositions difficiles et qu’elles vont susciter débats et controverses dans les États membres, mais il n’est pas acceptable de dire aux quatre coins de l’Union “arrêtez les noyades” tout en disant “mais qu’ils ne viennent pas chez nous”, affirme Frans Timmermans, premier Vice-président de la Commission européenne.
Visés par ces propos, le “front du refus” emmené par le Royaume-Uni et dans lequel on retrouve la Hongrie, la Pologne, la République Tchèque, les trois pays baltes et la Slovaquie.
La France et l’Espagne refusent l’idée de quotas et demandent une “répartition plus équitable”.
Alors que plus de 80 000 migrants ont déjà atteint les côtes européennes cette année, les Vingt-Huit ont donné leur accord à une opération navale pour lutter contre les trafiquants de migrants. Le Conseil de Sécurité de l’ONU doit donner son accord à cette opération qui devrait commencer en juin.
European Agenda on #MigrationEU is about turning the words into action: TimmermansEU</a> & <a href="https://twitter.com/Avramopoulos">
Avramopoulos at Europarl_En</a> <a href="http://t.co/Zw42ejYN1c">http://t.co/Zw42ejYN1c</a></p>— European Commission (
EU_Commission) May 20, 2015
Solidarité = répartition équitable des demandeurs d'asile en cas de crise. Pas de quota http://t.co/eYQm5MY19i#MigrationEU
— DimitrisAvramopoulos (@Avramopoulos) May 19, 2015