Newsletter Newsletters Events Évènements Podcasts Vidéos Africanews
Loader
Suivez-nous
Publicité

Pour négocier en Syrie, quelle est la bonne et la mauvaise opposition ?

Pour négocier en Syrie, quelle est la bonne et la mauvaise opposition ?
Tous droits réservés 
Par Laurence Alexandrowicz avec AFP
Publié le
Partager cet article Discussion
Partager cet article Close Button
Copier/coller le lien embed de la vidéo de l'article : Copy to clipboard Lien copié

Dans la perspective du prochain meeting sur la Syrie à Vienne, Moscou veut lister la bonne et la mauvaise opposition avec qui négocier.

PUBLICITÉ

Le ballet diplomatique pour régler la crise en Syrie se poursuivait ce mercredi à Moscou. L‘émissaire de l’ONU pour la Syrie, Staffan de Mistura, rencontrait Serguei Lavrov. Le ministre russe des Affaires étrangères s’est aussi entretenu au téléphone avec son homologue américain, John Kerry. Au menu du coup de fil : comment créer une opposition syrienne unie avec qui négocier lors de la prochaine réunion internationale sur la Syrie à Vienne ?

“Nous devons nous entendre sur deux listes, a déclaré Sergueï Lavrov. La première c’est celle des organisations terroristes, pour lesquelles un cessez-le-feu ne s’applique pas. Et la seconde liste est celle des différentes délégations de l’opposition avec lesquelles il y aura des discussions, sous les auspices des Nations unies, et du représentant du secrétaire général qui a un rôle de coordination.”

Selon son représentant, l’ONU est prête à accueillir “dès que possible” des discussions entre le gouvernement syrien et son opposition : “Les acteurs régionaux et la communauté internationale, a déclaré Staffan de Mistura, peuvent aider à rappeler aux deux camps, le gouvernement et l’opposition, qu’il faut commencer rapidement des discussions sans pré-requis d’aucun côté, pour répondre aux questions approuvées au meeting de Vienne.”

Sur le terrain l’armée syrienne a enregistré une victoire sur l’Etat islamique, en reprenant le contrôle total d’une route à Alep, aux mains des islamistes depuis deux semaines. C‘était la seule route possible pour ravitailler les quartiers gouvernementaux et y acheminer des renforts.

Accéder aux raccourcis d'accessibilité
Partager cet article Discussion

À découvrir également

Syrie : sans intervention israélienne, "un génocide aurait eu lieu", selon un chef druze

Syrie : reprise des exportations de pétrole après 14 ans de suspension

"L'État-providence n'est pas finançable" : Merz exige des réformes, le SPD bloque