L’avenir du Royaume-Uni au sein de l’Union inquiète le Président du Conseil européen. Dans une lettre publiée à la veille du sommet qui s’ouvre
L’avenir du Royaume-Uni au sein de l’Union inquiète le Président du Conseil européen. Dans une lettre publiée à la veille du sommet qui s’ouvre aujourd’hui à Bruxelles, Donald Tusk estime qu’il n’y aucune garantie que les 28 s’accordent sur les exigences de la Grande-Bretagne.
#Brexit: “aucune garantie” à la veille d'un sommet crucial https://t.co/TUtIWbWhsl#AFPpic.twitter.com/sOFdMXDI9d
— Agence France-Presse (@afpfr) 17 Février 2016
Il reste de nombreuses divergences sur les requêtes du Premier ministre britannique qui souhaiterait notamment limiter les prestations sociales pour les ressortissants européens qui travaillent au Royaume-Uni. Une requête appuyée par la Chancelière allemande.
“En ce qui concerne les exigences de David Cameron, il ne s’agit pas juste des intérêts particuliers des Britanniques, estime Angela Merkel. Dans certains cas, c’est même le contraire. De nombreux points sont justifiés et nécessaires.”
« Brexit » : Merkel soutient des demandes de Cameron https://t.co/6blGKYK0rtpic.twitter.com/a2bxw3APXE
— Le Monde (@lemondefr) 17 Février 2016
Donald Tusk avait présenté le 2 février une série de propositions pour répondre aux demandes britanniques, mais de l’immigration à la souveraineté politique, en passant par la gouvernance économique et la zone euro, les points d’achoppement demeurent.