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Syrie : l'opposition rétive à poursuivre les discussions de paix

Syrie : l'opposition rétive à poursuivre les discussions de paix
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Par Euronews
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Il n’y a “pas de trêve du tout sur le terrain” en Syrie, les négociations ne peuvent se tenir alors que “les gens continuent de souffrir”, et que

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Il n’y a “pas de trêve du tout sur le terrain” en Syrie, les négociations ne peuvent se tenir alors que “les gens continuent de souffrir”, et que “Bachar el-Assad reste au pouvoir”… Le coordinateur de l’opposition, Riad Hijab, qui avait déjà jugé ce lundi “inacceptable” de poursuivre les pourparlers de paix sur la Syrie, réactualise sa charge ce mardi.

Les violations de la trêve – entrée en vigueur fin février – dans diverses provinces syriennes pourraient-elles ainsi remettre en questions les discussions de paix qui se tiennent à Genève depuis la fin janvier ?

Ce point continue de diviser le Haut comité des négociations (HCN), qui représente l’opposition, en deux camps.
Certains veulent quitter Genève, d’autres entendent persévérer dans ce délicat processus de négociation que décrit Ahmed Kamel, membre du HCN :

“Le but, tout d’abord, n’est pas de négocier mais de réussir à atteindre nos objectifs. Au début, nous étions très satisfaits de la cessation des hostilités, mais cette trêve est devenue très fragile à cause des violations commises par le régime, qui ont conduit à l’effondrement-même de la trêve. Le régime, non seulement, veut gagner du temps, mais il veut donner une définition et des principes à la transition politique que personne n’accepte”, a-t-il affirmé.

Le régime syrien a accusé ce lundi l’Arabie saoudite, la Turquie et le Qatar, qui appuient de l’opposition, de vouloir faire capoter les pourparlers de paix.
La Russie a quant à elle affirmé son soutien à ces discussions, qui, selon elle doivent se poursuivre.

Avec agences

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