Brexit : "nous ne tournons pas le dos à l'Europe" (Cameron)

Brexit : "nous ne tournons pas le dos à l'Europe" (Cameron)
Par Euronews
Partager cet articleDiscussion
Partager cet articleClose Button
Copier/coller le lien embed de la vidéo de l'article :Copy to clipboardLien copié

Les chefs d’Etat et de gouvernement européens se retrouvent ce mardi à Bruxelles.

PUBLICITÉ

Les chefs d’Etat et de gouvernement européens se retrouvent ce mardi à Bruxelles. Une rencontre dominée, évidemment, par la question du Brexit (sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne, décidée lors d’un référendum jeudi). Les dirigeants sont arrivés en début d’après-midi.

Tous les regards sont tournés vers David Cameron. A son arrivée à Bruxelles, le Premier ministre britannique démissionnaire a dit espérer que la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne soit négociée de manière “aussi constructive que possible“.

Même si nous sommes en train de quitter l’UE, nous ne tournons pas le dos à l’Europe. Ces pays sont nos voisins, nos amis, nos alliés, nos partenaires. Et j’espère sincèrement que nous parviendrons à établir la relation la plus étroite possible en termes de commerce, de coopération et de sécurité parce que c’est bon pour nous et c’est bon pour eux.
David Cameron, Premier ministre britannique démissionnaire

Procédure de divorce

Reste que les dirigeants européens, eux, souhaitent que la procédure de divorce soit enclenchée dès que possible.
Objectif : éviter toute tergiversation.

L’Europe est prête à commencer cette procédure même dès aujourd’hu_i”, a commenté de son côté le président du Conseil européen Donald Tusk, ajoutant que ce n‘était pas “_le scénario rêvé“.

De leur côté, les députés européens, réunis en session extraordinaire ce mardi, ont adopté une résolution enjoignant Londres à engager “immédiatement“ sa procédure de départ.

Partager cet articleDiscussion

À découvrir également

Martin Schulz : le Brexit "va certainement changer le caractère de l'UE"

Le Brexit plonge le Royaume-Uni dans la tourmente politique

Devant les parlementaires, David Cameron assume