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Cyclisme: Gilbert fustige l'attentisme des grimpeurs

Le Belge Philippe Gilbert en conférence de presse à Liège le 26 avril 2019
Le Belge Philippe Gilbert en conférence de presse à Liège le 26 avril 2019 Tous droits réservés YORICK JANSENS
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Philippe Gilbert, vainqueur de Paris-Roubaix, a pointé l'attentisme des grimpeurs comme principale raison de la monotonie des dernières éditions des classiques ardennaises, surtout Liège-Bastogne-Liège.

Le champion du monde 2012, qui a gagné aussi bien des courses de pavés (Tour des Flandres, Paris-Roubaix) que les ardennaises, s'est félicité du changement du final de Liège-Bastogne-Liège. Mais il a relativisé l'importance du parcours par rapport à la mentalité des coureurs.

"Les grimpeurs sont souvent des coureurs attentistes. Si on donnait les capacités physiques aux coureurs des flandriennes d'être sur Liège-Bastogne-Liège, il se passerait beaucoup plus de choses, beaucoup plus d'attaques", a déclaré le Wallon, vendredi, lors d'un point-presse organisé par son équipe Deceuninck.

"C'est beaucoup dans la mentalité des coureurs. Ils calculent, ils regardent leurs watts, ils attendent. Sur les flandriennes, ça court de bon coeur, ça y va franchement", a estimé Gilbert (36 ans) qui a orienté sa carrière depuis 2017 vers les classiques de pavés.

"Ce sont deux pelotons différents et, de mon point de vue, c'est la raison principale des courses +ennuyantes+ que l'on voit sur les ardennaises", a conclu le Belge, l'un des deux coureurs à avoir gagné les trois courses ardennaises (Amstel Gold Race, Flèche Wallonne, Liège-Bastogne-Liège en 2011).

Sur le nouveau final de la Doyenne, le "local", qui connaît par coeur les routes de la région pour avoir longtemps habité au pied de la côte de la Redoute, a tranché: "C'est bien, j'ai envie de dire finalement. C'était un peu triste de finir là-haut (à Ans), ça ne représentait pas du tout Liège, ça n'a rien à voir. Je suis heureux de pouvoir faire au moins une fois dans ma carrière un vrai Liège-Bastogne-Liège."

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