Entre mai et juin, le PIB américain n’a augmenté que de 1,2% alors que les analystes se montraient bien plus optimistes et tablaient sur +2,6%.
Entre mai et juin, le PIB américain n’a augmenté que de 1,2% alors que les analystes se montraient bien plus optimistes et tablaient sur +2,6%.
Ralentissement donc causé par l’effondrement des dépenses d’investissement privé, qui ont connu leur plus forte chute depuis sept ans (-9,7%), et malgré une consommation des ménages dynamique, à +4,2%.
Des données qui ont aussi semé le doute sur une éventuelle décision de hausse des taux d’intérêt de la Réserve fédérale lors de sa réunion en Septembre. Cette semaine ils ont été maintenus entre 0,25% et 0,50%.