Grâce à une performance spectaculaire, Chelsea a battu dimanche le Paris Saint-Germain 3-0 en finale de la nouvelle Coupe du monde des clubs. Mais lors de la cérémonie de remise des prix qui a suivi, un invité inattendu s'est soudainement joint à la fête : le président américain Donald Trump.
C'était un après-midi de football parfait pour les stars de Chelsea : le club londonien a mis fin à la domination du récent vainqueur de la Ligue des champions, le Paris Saint-Germain, grâce à une performance brillante, dimanche, au Met Life Stadium du New Jersey.
Mais après le coup de sifflet final, un fêtard inattendu a fait son apparition sur la pelouse : le président américain Donald Trump. Le locataire de la Maison Blanche avait suivi le match depuis les tribunes, avant de distribuer les médailles aux joueurs, mais sa participation à la remise du trophée n'a pas été du goût de tout le monde.
Si certains joueurs n'ont pas semblé gênés par sa présence, d'autres, comme le joueur vedette Cole Palmer, ont été manifestement déconcertés par la participation inopinée de Donald Trump.
Donald Trump surfe sur la prochaine Coupe du monde de football
Pourtant, Donald Trump s'était déjà manifesté à plusieurs reprises au cours du tournoi. En juin, il a reçu l'équipe de la Juventus de Turin dans le bureau ovale, mais a préféré orienter la conversation sur des sujets politiques lors des questions des journalistes présents.
Il voulait notamment savoir si une femme pouvait faire partie de l'équipe des "Bianconeri". Visiblement gênés, les joueurs de la formation italienne se sont retenus autant que possible de faire des déclarations politiques.
Le patron de la FIFA, Gianni Infantino, est en revanche un ami du président américain, et il s'est apparemment réjoui de la visite de ce dernier sur la pelouse. Par le passé, le directeur de la fédération internationale de football avait déjà exprimé à plusieurs reprises son affection pour Donald Trump.
Alors que les États-Unis organiseront la prochaine Coupe du monde de football en 2026 - conjointement avec le Canada et le Mexique -, cette intervention surprise du président américain pourrait bien en présager d'autres.