Deux nouvelles attaques au gaz chloré en Irak, c’est ce dont les combattants Peshmerga accusent les combattants d’Etat Islamique. C’est la troisième
Deux nouvelles attaques au gaz chloré en Irak, c’est ce dont les combattants Peshmerga accusent les combattants d’Etat Islamique. C’est la troisième fois depuis décembre que les djihadistes sont ainsi accusés d’avoir recours aux armes chimiques.
Des gaz qui se trouveraient dans des obus lancés par des batteries d’artillerie d’Etat Islamique.
Témoignage du général Aziz Wesi :
“Nous avons du envoyer nos Peshmerga à l’hôpital. Après leur examen, le chef des urgences m’a appelé personnellement et m’a demandé de lui envoyer les autres pour les faire examiner. Il a dit qu’ils avaient des niveaux importants de chlore dans le sang mais pas assez pour les tuer”.
Dans son offensive de reconquête du nord de l’Irak, l’armée a fait une pause ce lundi au niveau de Tikrit. Les forces de sécurité et les milices chiites, entrées dans la ville la semaine dernière, n’ont pas encore le contrôle de tous les quartiers. Elles réclament un appui aérien plus important de la part de la coalition internationale.
Et autour de la riche cité pétrolière de Kirkouk, plus à l’Est, l’armée irakienne, aidée par des combattants chiites turkmènes, a enregistré plusieurs succès en chassant les djihadistes de plusieurs villages au sud de la ville.