Alors que des soupçons de corruption à la FIFA ont jeté une ombre sur l’attribution des compétitions de 2018 et 2022, le FBI et la justice suisse ont
Alors que des soupçons de corruption à la FIFA ont jeté une ombre sur l’attribution des compétitions de 2018 et 2022, le FBI et la justice suisse ont lancé des enquêtes, les deux pays organisateurs contre-attaquent.
A Moscou, le Kremlin assure que “les préparatifs se poursuivent” ce que confirme le ministre russe des Sports, Vitaly Mutko : “lors du dernier congrès, nous avons fait un point sur la manière dont les préparatifs se mettaient en place et il n’y pas eu une seule question. Tout le monde soutient complètement et fait confiance à la Russie. Aujourd’hui, je ne vois absolument pas de menace”.
Le calendrier protège de fait le Mondial russe, car il se déroulera dans seulement trois ans et les groupes de qualifications seront tirés au sort dès le 25 juillet.
Au Qatar, les autorités de l‘émirat affirment avoir mené leur candidature dans le respect des critères d’intégrité. “C‘était le meilleur dossier”, assurent-elles tout en dénonçant “une campagne basée sur des préjugés et du racisme”.
Doha tient à rappeler que “les événements touchant la FIFA n’ont pas d’impact” sur le Mondial 2022 qui est l’objet de vives critiques depuis son attribution. Les conditions de travail sur les chantiers des stades ont également suscité une vague de protestations.
Signe pourtant d’une incertitude grandissante, la bourse du Qatar avait fortement baissé après la démission de Sepp Blatter.
#KevinFrezhx3 Foot – Corruption – «Pas d'impact» sur le Mondial 2022 au Qatar: Malgré les scandales qui éclabo… http://t.co/XP9XUJ7L5N
— the true (@Esmarlin1994) 3 Juin 2015
Démission de #Blatter : pas d'incidence sur le Mondial 2018 en #Russiehttp://t.co/HqKvfbJ4Dlpic.twitter.com/CE434dD09r
— Sputnik France (@sputnik_fr) 3 Juin 2015