Prendre la pose pour les photographes avant un match de football, c’est tout ce qu’il y a de plus classique. Le faire à Tripoli l’est beaucoup moins
Prendre la pose pour les photographes avant un match de football, c’est tout ce qu’il y a de plus classique.
Le faire à Tripoli l’est beaucoup moins depuis 2011, depuis que la Libye est plongée dans le chaos.
De jeunes amateurs et d’anciens professionnels ont pu disputer un match-exhibition à huit contre huit sur un terrain synthétique à l’initiative d’une organisation caritative.
“Nous espérons”, dit cet homme, “que cette atmosphère redeviendra habituelle, parce que ça nous a beaucoup manqué depuis quelques années. Ici, c’est un endroit fait pour le sport et pas pour autre chose”.
Le bruit des armes se fait moins assourdissant à Tripoli depuis le début du Ramadan la semaine dernière.
De quoi permettre à tous ceux qui aiment le ballon rond de pouvoir à nouveau assouvir leur passion, au moins provisoirement…