Macron contre une fusion de Renault et Nissan

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Par Pierre Assémat  avec AGENCES
Macron contre une fusion de Renault et Nissan

L‘État français va réduire sa participation dans Renault, repassant de 19,7 % à 15%, et ce, “dès que les intérêts patrimoniaux des contribuables seront pleinement préservés”, expliqué Emmanuel Macron, c’est-à-dire lorsque le cours du groupe sera suffisamment remonté pour que l’Etat ne perde pas d’argent au passage.

Le ministre de l‘Économie a également assuré qu’une fusion entre Renault et Nissan n‘était pas à l’ordre du jour. Macron s’est néanmoins déclaré en faveur d’une intégration opérationnelle des deux constructeurs. Renault détient 43,4 % de Nissan et une filiale du constructeur japonais contrôle 15% du groupe français.