Newsletter Newsletters Events Évènements Podcasts Vidéos Africanews
Loader
Suivez-nous
Publicité

Egypte : vingt ans après sa découverte, le tombeau de Maïa ouvre au public

Egypte : vingt ans après sa découverte, le tombeau de Maïa ouvre au public
Tous droits réservés 
Par Euronews
Publié le
Partager cet article Discussion
Partager cet article Close Button
Copier/coller le lien embed de la vidéo de l'article : Copy to clipboard Lien copié

Presque vingt ans après sa découverte, le tombeau de Maïa, appelée la “nourrice” de Toutankhamon, s’ouvre au public. Il se trouve dans la nécropole

PUBLICITÉ

Presque vingt ans après sa découverte, le tombeau de Maïa, appelée la “nourrice” de Toutankhamon, s’ouvre au public. Il se trouve dans la nécropole de Saqqara, à vingt kilomètres au Sud-Ouest du Caire, qui a servi tout au long de l’histoire de l’Egypte antique : c’est pourquoi on y trouve des tombes royales, comme des sépultures plus modestes.

“Au début, on croyait que c‘était un cimetière pour les chats embaumés fait par les Pharaons, mais on a découvert, avec l’aide de la mission française, qu’il contient de nombreuses tombes privées de notables qui ont vécu sous la XVIIIe ou XIXe dynastie”, a déclaré Mamdouh al-Damati, le ministre égyptien des Antiquités.

L’archéologue français Alain Zivie, qui a découvert le tombeau en 1996, a affirmé dimanche qu’il estimait que Maïa n‘était autre que la soeur de Toutankhamon

“C‘était une aventure commune, qui a pris énormément d’années. Avec le nom de Maya, nous avons estimé que c’est une découverte très importante. Nous avions déjà fait des découvertes très importantes, mais celle-ci l’est encore plus, à cause du nom de Toutankhamon, qui est magique pour le public. Nous pensions que cela allait nous prendre une bonne partie de notre vie, et c‘était vrai”, souligne l’archéologue français.

“Il y a des découvertes archéologiques ici depuis des centaines d’années, et chaque nouveau site raconte une riche histoire, qui révèle davantage de secrets étonnants qui déconcertent les archéologues”, note Mohammed Shaikhibrahim, notre correspondant au Caire.

Accéder aux raccourcis d'accessibilité
Partager cet article Discussion

À découvrir également

L'Égypte freine la marche pour Gaza et expulse des dizaines de militants internationaux

Le mystère de « Bashiri », une momie égyptienne vieille de 2300 ans qu'aucun archéologue n'ose ouvrir

Pologne : la commémoration de la Seconde Guerre mondiale révèle les divergences entre Donald Tusk et Karol Nawrocki