Rio : 85 000 policiers et militaires pour rassurer les visiteurs

Rio : 85 000 policiers et militaires pour rassurer les visiteurs
Tous droits réservés 
Par Euronews
Partager cet articleDiscussion
Partager cet articleClose Button
Copier/coller le lien embed de la vidéo de l'article :Copy to clipboardLien copié

Les visiteurs étrangers ne seront sans doute pas aussi nombreux que lors de la coupe du monde il y a deux ans, mais pour les rassurer, le Brésil n’a pas lésiné sur les…

PUBLICITÉ

Les visiteurs étrangers ne seront sans doute pas aussi nombreux que lors de la coupe du monde il y a deux ans, mais pour les rassurer, le Brésil n’a pas lésiné sur les moyens. 85 000 militaires et policiers ont été déployés dans la cité carioca à l’occasion de ces JO, deux fois plus que lors des jeux Olympiques de Londres.

“Jusqu’ici, nous avons été très impressionnés par la sécurité, dit une touriste canadienne. Il y a une forte présence militaire mais on se sent plus sûr.”

“En Chine, on m’avait dit que Rio n‘était pas une ville sûre, mais je suis ici et tout va bien, assure un jeune homme. Les gens sont sympathiques et il fait chaud.”

Outre les craintes sécuritaires, le virus Zika a aussi tenu à l‘écart une partie des touristes. Pour encourager les plus motivés, l’obligation de visa a notamment été suspendue pour les Américains, les Canadiens ou encore les Japonais durant la quinzaine olympique.

“Nous accueillons les jeux Olympiques mais tout près il y a les favelas, rappelle un résident, et ils mettent des barrières pour les cacher. Or derrière ces barrières, des atrocités sont commises.”

Moins de la moitié des dirigeants présents aux JO de Londres en 2012 ont fait le déplacement pour la cérémonie d’ouverture à Rio, mais ces jeux n’en sont pas moins historiques, ne serait-ce que parce qu’ils se tiennent pour la première fois dans un pays d’Amérique du Sud.

Partager cet articleDiscussion

À découvrir également

Macron au Brésil : un renouveau dans les relations entre les deux pays

Brésil : Jair Bolsonaro accusé d'avoir bénéficié d'un "faux" certificat de vaccin anti-Covid

NO COMMENT : le Brésil confronté à une épidémie de dengue sans précédent