Ankara soutient l'offensive qui se prépare contre Daesh pour reprendre la ville syrienne de Jarablos à la frontière turque.
Les premières victimes de la tuerie de Gaziantep dans le sud-est de la Turquie ont été enterrées ce lundi. Quarante-huit heures après l’attentat-suicide qui a coûté la vie à 54 personnes, le pays reste traumatisé. La plupart des victimes étaient de très jeunes kurdes qui participaient à un mariage.
Turquie : des funérailles sous tension après l’attentat de Gaziantep https://t.co/7ry7PUao6vpic.twitter.com/ad64oRCLIy
— Le Monde – Vidéos (@lemondevideo) 22 août 2016
Quant au kamikaze, la justice tente de l’indentifier. Il avait entre 12 et 14 ans.
La Turquie s’efforce d’identifier le très jeune kamikaze de Gaziantep https://t.co/OvXqAnqTsP via
LeDevoir</a></p>— Normand Baillargeon (
nb58) 22 août 2016
Ce massacre, attribué au groupe Etat islamique, ne restera pas impuni a promis le ministre turc des affaires étrangères. “Nous nous battrons jusqu’au bout contre Daesh et contre toutes les autres organisations terroristes”, a déclaré lundi Mevlüt Cavusoglu. Et nous continuerons à soutenir les pays et les groupes qui combattent Daesh. La frontière turque doit être entièrement nettoyée du groupe Etat islamique.”
L’attentat-suicide de Gaziantep aurait été mené en représaille contre Ankara après les récents combats menés par les rebelles syriens.
La Turquie vient d’ailleurs de confirmer qu’elle soutenait l’offensive qui se prépare pour reprendre la ville de Jarablos, au nord de la Syrie, aux mains des jihadistes de Daesh.
Avec Agences