Cyberattaques pendant la campagne : Barack Obama menace la Russie de représailles

Cyberattaques pendant la campagne : Barack Obama menace la Russie de représailles
Par Euronews
Partager cet articleDiscussion
Partager cet articleClose Button
Copier/coller le lien embed de la vidéo de l'article :Copy to clipboardLien copié

Après le CIA et le FBI, c’est la Maison-Blanche qui accuse frontalement le Kremlin d’avoir favorisé l‘élection de Donald Trump.

PUBLICITÉ

Après le CIA et le FBI, c’est la Maison-Blanche qui accuse frontalement le Kremlin d’avoir favorisé l‘élection de Donald Trump. Moscou est soupçonné d’avoir ordonné une campagne de cyberattaques le parti démocrate pendant la campagne présidentielle américaine afin de nuire à Hillary Clinton.

Un mois avant la passation de pouvoir à Washington, Barack Obama a annoncé des représailles contre la Russie, dans un entretien à la National Public Radio (NPR) :

Nous devons prendre des mesures, et nous les prendrons au moment et à l’endroit que nous choisirons. Certaines pourront être explicites et publiques, d’autres ne le seront peut-être pas. M. Poutine est parfaitement au courant de mon ressenti sur le sujet, car je lui en ai parlé directement.
Barack Obama, président des Etats-Unis

Peu après l‘élection du 8 novembre, un rapport de la CIA, qui a fuité dans la presse, accusait directement le pouvoir russe d’interférence dans le processus électoral américain, ce qu’avait fait Barack Obama un mois avant le vote, en se basant sur des rapports antérieurs.

Des dizaines de milliers d’e-mails de responsables démocrates et de proches de la candidate Clinton ont été piratés et publiés pendant la campagne, certains faisant la Une de la presse et discréditant la candidate.

Moscou, comme Donald Trump, ont rejeté ces accusations. Les républicains du Congrès vont lancer plusieurs enquêtes parlementaires sur la question.

Partager cet articleDiscussion

À découvrir également

Les États-Unis s'inquiètent d'un projet d'arme nucléaire spatiale russe

Un ressortissant russe s'est rendu aux Etats-Unis sans passeport ni billet d'avion

Conflit israélo-palestinien : les États-Unis ont mis leur veto à une résolution de l'ONU