Corée du Sud : la destitution de la présidente n'est pas encore tranchée

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Par Euronews
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En cas d'élection anticipée, Ban Ki-moon, l'ex-secrétaire général de l'ONU, pourrait se présenter.

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En Corée du Sud, la procédure de destitution de la présidente Park Geun-Hye se poursuit. Mardi matin la Cour constitutionnelle s’est de nouveau réunie pour examiner les motifs invoqués par l’assemblée nationale pour justifier cette destitution.

Park Geun-Hye est accusée de collusion. Sa principale conseillère est en prison pour extorsion de fonds et abus de pouvoir.

Corée du Sud: Des milliers de manifestants réclament le départ de la présidente https://t.co/qbV2tpzOz2

— Aujourd'hui la Corée (@AujourdhuiCoree) 25 décembre 2016

Si la cour constitutionnelle valide la destitution de la présidente, de nouvelles élections devront être organisées en 2017.

Mais craignant d‘être laminé, le parti conservateur au pouvoir vient d’imploser : des parlementaires hostiles à la présidente viennent de faire sécession. Ils réclament un grand nettoyage.

Ces députés frondeurs misent désormais sur l’ex-secrétaire général de l’ONU pour se refaire une virginité.

En cas d‘élection présidentielle anticipée, Ban Ki-moon arriverait en tête de la compétition, selon un récent sondage.

Avec Agences

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