Plus d'un millier de policiers et de militaires ont été dépêchés dans l'Etat d'Espirito Santo pour ramener le calme.
Au Brésil, plus de deux mille policiers et militaires ont investi les rues de Vitoria, la capitale du petit Etat d’Espirito Santo, au nord de Rio de Janeiro.
Cette intervention massive des forces de l’ordre fait suite à la vague de violence sans précédent qui aurait fait au moins 75 morts après une grève des policiers locaux.
Ces derniers ont cessé de travailler depuis samedi soir ouvrant la voie à une longue série de crimes et de délits.
Le Brésil doit faire appel à l’armée pour arrêter une immense vague de violence https://t.co/435eVmA4yE
— BuzzFeed France (@BuzzFeedFrance) 7 février 2017
Ce sont les familles des grévistes qui ont bloqué les accès des commissariats pour demander une amélioration des salaires des policiers qui n’ont pas le droit de manifester.
Brésil : fusillade à Vila Velha dans l‘État d’Espirito Santo. pic.twitter.com/Hzay0Bxgzr
— Informel (@1formel) 6 février 2017
Faute de surveillance policière, 75 cadavres ont déjà été transférés à la morgue de Vitoria.
Avec Agences