Le bilan de l'attaque s'est encore alourdi : 14 personnes au total sont décédées. Une quarantaine de blessés sont toujours hospitalisés.
En Russie, le kamikaze qui s’est fait exploser lundi dans le métro de Saint-Pétersbourg serait né au Kirghizstan.
Selon le service de sécurité kirghize, Akbarjon Djalilov, 22 ans, aurait sans doute acquis la nationalité russe.
Ces informations n’ont pas encore été confirmées par Moscou.
Le suspect aurait déposé une seconde bombe mais celle-ci n’a pas explosé. Une enquête pour fait de terrorisme a été ouverte.
L’auteur de l’attentat de #SaintPétersbourg identifié comme un homme d’origine kirghize https://t.co/HmLd65ZP5q
— Le Monde (@lemondefr) 4 avril 2017
L’explosion s’est produite à 14 h 40 dans une rame de métro circulant entre deux stations de métro de la seconde ville de Russie.
Toute la presse espagnole met l'attentat en Russie à la Une, ici la Razon pic.twitter.com/773dAbold1
— Fabien Cazenave (@FabienCazenave) 4 avril 2017
Le bilan s’est encore alourdi mardi matin : à ce stade 14 personnes sont décédées et une quarantaine de blessés seraient toujours hospitalisés.
L’attaque n’a toujours pas été revendiquée mais tous les regards sont tournés vers les jihadistes de Daesh qui ont placé depuis des mois la Russie sur leur liste noire en raison du soutien de Moscou au régime syrien de Bachar Al-Assad.
Selon les services de sécurité russes, au moins 7 000 ressortissants de l’ex-URSS, dont environ 2 900 Russes, auraient rejoint les groupes jihadistes en Irak et en Syrie.
Avec Agences