Attaque chimique : Damas acceptera une enquête internationale "non politisée"

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Par Euronews
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Le démenti syrien n’a pas changé d’un iota : l’armée syrienne “n’a pas utilisé et n’utilisera jamais” des armes chimiques contre son propre peuple, “pas même” contre les rebelles et les djihadistes, a

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Le démenti syrien n’a pas changé d’un iota : l’armée syrienne “n’a pas utilisé et n’utilisera jamais” des armes chimiques contre son propre peuple, “pas même” contre les rebelles et les djihadistes, a affirmé jeudi le chef de la diplomatie syrienne Walid Mouallem.

Pour lui, la Syrie est victime d’une “campagne complotiste”.

“Le premier raid aérien lancé par l’armée syrienne a eu lieu à 11h30 ce jour là. Il a visé un dépôt d’armes appartenant au front Al Nosra, qui contient des armes chimiques”.

Dans le même temps le Conseil de Sécurité des Nations Unies tente de mettre sur pieds une résolution condamnant le régime de Damas. Son envoyé pour la Syrie, Jan Egeland, à Genève :
“Une guerre où les enfant meurent en suffoquant à cause de substances chimiques est une guerre très, très sale”.

Au moins 86 personnes, dont 30 enfants, ont été tuées lors d’un raid mené mardi sur Khan Cheikhoun, petite ville de la province rebelle d’Idleb, dans le nord-ouest de la Syrie.

Damas a affirmé que ce jeudi qu’une enquête internationale sur cette attaque était possible, mais qu’elle ne devait pas être “politisée”.

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