Un nouvelle attaque pourrait être "imminente", selon le Premier ministre britannique Theresa May
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Le Royaume-Uni en état d’alerte maximale, après l’attentat de ce vendredi dans le métro londonien. L’explosion a eu lieu à la station Parsons Green, au sud-ouest de la capitale britannique, en pleine heure de pointe. 29 personnes ont été blessées, sans gravité cependant. La plupart souffrent de brûlures causées par l’engin artisanal qui n’a que partiellement explosé. Une attaque revendiquée par le groupe Etat Islamique.
L’organisation djihadiste Etat islamique revendique l’attentat dans le métro de Londres https://t.co/Kqn3TPOipx
— Le Monde (@lemondefr) 15 septembre 2017
“Le centre d’analyse du terrorisme (JTAC), une organisation indépendante en charge de déterminer le niveau de risques sur la base de renseignements, a désormais décidé de relever ce niveau d’alerte à l‘échelle nationale en le faisant passer de “grave” à “critique”, a déclaré le Premier ministre britannique Theresa May. “Cela veut dire qu’une prochaine attaque pourrait être imminente”.
Donald Trump a réagi sur les réseaux sociaux. Le Président américain a évoqué un terroriste “raté”, déjà dans le viseur de Scotland Yard avant l’attaque, selon lui. Il a ensuite présenté ses condoléances à la cheffe du gouvernement britannique, Theresa May, qui a convoqué en urgence son cabinet sur la sécurité.
Attentat de Londres: Donald Trump critique la police, Theresa May le recadre https://t.co/sjHDVVmOmU pic.twitter.com/4cIEckALIm
— L’Express (@LEXPRESS) 15 septembre 2017
Une chasse à l’homme est en cours pour interpeller les suspects qui seraient impliqués dans l’attentat.
Attentat dans le métro de Londres : les autorités lancées dans une “chasse à l’homme” https://t.co/fUDFv3AseZ pic.twitter.com/rxRqpnXjuK
— L’Obs (@lobs) 15 septembre 2017
Des militaires vont être déployés “sur certains sites protégés”, pour permettre à près d’un millier de policiers de renforcer leur présence dans les transports en commun. Il s’agit du cinquième attentat terroriste à viser le Royaume-Uni en l’espace de six mois.
Les attaques ayant eu lieu cette année à Londres et à Manchester par
AFPgraphics</a> <a href="https://twitter.com/hashtag/AFP?src=hash">#AFP</a> <a href="https://t.co/OeI21PuLGz">pic.twitter.com/OeI21PuLGz</a></p>— Agence France-Presse (afpfr) 15 septembre 2017