Derniers meetings et dernière ligne droite avant le scrutin des européennes

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Par Guillaume Petit
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A J-2 du scrutin européen, le parti populaire européen et les sociaux-démocrates européens jetaient leurs dernières forces dans la bataille pour tenter de contrer une vague eurosceptique.

A J-2 du scrutin dimanche, le parti populaire européen et les sociaux démocrates européens, qui sont les plus représentés au Parlement, jetaient leurs dernières forces dans la bataille, pour espérer contrer la vague eurosceptique.

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La droite européenne, menée par l'Allemand Manfred Weber, bénéficiait vendredi soir du soutien de la chancelière allemande Angela Merkel. Leur objectif : contrer les eurosceptiques, alors que de moins en moins de membres issus de la droite figurent à la tête d'Etats ou de gouvernements de pays de l'UE.

Le chef de file des conservateurs européens Manfred Weber a mis en garde contre les incertitudes liées aux remous du commerce mondial : "Il y a beaucoup de nuages à l'horizon : le Brexit, qui crée de l'insécurité, et l'attitude du président américain Donald Trump (concertnant la guerre commerciale avec la Chine, notamment, ndlr). Et c'est pourquoi, nous les Européens, devons adopter une position très claire".

Un groupe de plus en plus divisé, qui a du encaisser en fin de campagne l’éclatement de la coalition du conservateur Sebastian Kurz en Autriche. Le chancelier a d'ailleurs annulé sa venue à Munich à la dernière minute et s'est contenté d'une vidéo de soutien diffusée lors du meeting.

Les sociaux-démocrates croient en leurs chances

De leur côté, les sociaux-démocrates européens affichaient leur optimisme après des premiers sondages de sortie des urnes positifs aux Pays-Bas, qui ont voté jeudi, et où les populistes étaient attendus en force. 

Leur chef de file, Franz Timmermans était à Barcelone vendredi soir aux côtés du premier ministre espagnol Pedro Sanchez. Le Néerlandais croit en ses chances de déjouer les pronostics.

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