Un 4 juillet morose aux États-Unis

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Tous droits réservés Robin Rudd/2020 Chattanooga Times Free Press
Par Euronews
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La fête de l'indépendance était marquée cette année par la pandémie de coronavirus et beaucoup de grandes villes ont limité les célébrations. Mais Donald Trump a vu les choses en grand.

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C'est un 4 juillet à l'ambiance morose qu'ont vécu cette année les États-Unis, une fête de l'indépendance marquée par la propagation continue du coronavirus qui a fait près de 130 000 morts dans le pays.

Mais ce samedi a aussi été l'occasion de rendre hommage à d'autres victimes, celles du 11 septembre 2001, avec la réouverture du mémorial de New York et de ses deux bassins. Ils étaient inaccessibles depuis mars. Le musée restera, lui, fermé.

Dans de nombreuses grandes villes américaines, les traditionnels feux d'artifices, concerts et fanfares ont été annulés pour tenter de contenir la pandémie, mais Donald Trump a vu les choses en grand. Vendredi soir, c'est depuis le Mont Rushmore qu'il a donné le coup d'envoi des festivités, poursuivies samedi sur le National Mall de Washington.

Si le président américain ne s'encombre d'un masque et ne cesse de minimiser l'ampleur de la pandémie, certains de ses proches ne sont pas épargnés. Kimberly Guilfoyle, l'une des responsables du financement de sa campagne, qui est aussi la petite amie de Donald Trump Jr, a été testée positive au Covid-19. Le couple est désormais à l'isolement.

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