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Violences policières en France : les charges se précisent

Michel, producteur. Source : Mazava Music Production
Michel, producteur. Source : Mazava Music Production Tous droits réservés  AP/AP
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Par Euronews
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Les policiers impliqués dans le passage à tabac d'un homme ont été placés en garde à vue et entendus par l'IGPN.

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Les charges se précisent à l'encontre des policiers accusés d'avoir passé à tabac un homme samedi soir à Paris. Les quatre agents impliqués ont été placés en garde à vue.

Selon le Parquet, trois d'entre eux étaient entendus dans les locaux de l'IGPN pour "violences volontaires, en réunion, avec arme et à caractère raciste", mais aussi pour "faux en écriture publique, violation de domicile par personne dépositaire de l'autorité publique et dégradations volontaires de bien privé", le dernier devait répondre de "violences volontaires, en réunion, avec arme et du chef de dégradations volontaires".

Le ministre de l'intérieur Gérald Darmanin avait demandé à ce qu'ils soient suspendus de leur fonction dans la foulée, et révoqués lorsque les faits seront établis.

La version des membres des forces de l'ordre a été mise à mal, après la diffusion des images de vidéosurveillance qui ont fait le tour des réseaux sociaux et qui montrent un homme longuement roué de coups par plusieurs policiers.

La victime, nommée Michel, venait d'entrer dans son studio du XVIIe arrondissement. Le producteur de musique dit avoir été suivi par les agents, alors qu'il se dirigeait vers les lieux sans porter de masque.

Le site Loopsider, qui a diffusé ces images, a publié ce vendredi une nouvelle vidéo accablante prise cette fois par un voisin, à la sortie des locaux.

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