Le 21 mars 2006, un certain Jack Dorsey écrivait le premier gazouillis du monde virtuel : just setting up my twttr— Jack (@jack) 21 de marzo de 2006
Le 21 mars 2006, un certain Jack Dorsey écrivait le premier gazouillis du monde virtuel :
just setting up my twttr
— Jack (@jack) 21 de marzo de 2006
Dix printemps plus tard, le message en 140 caractères maximum a séduit 320 millions d’abonnés dans le monde. Si l’heure n’est pas pour autant à la fête pour l’atypique cofondateur, Jack Dorsey, très grand amateur de yoga qui a dû reprendre la direction exécutive de Twitter en juin pour l’aider à progresser face à Facebook et son 1,5 milliard et demi d’inscrits ou Instagram, Twitter s’est toutefois imposé à sa façon, dans nos vies.
Parmi ceux qui se sont emparés de Twitter comme outil majeur de communication, le pape François, mais aussi de nombreux responsables politiques, à l’instar du président américain Barack Obama qui compte plus de 71 millions d’abonnés. Twitter a aussi le point de départ de nombreuses mobilisations à travers le monde.
Malgré cette popularité et un chiffre d’affaires de 2,2 milliards de dollars en 2015, le réseau de mini-messages peine à être rentable et accumule les pertes.
Il reste en revanche très attractif auprès des annonceurs. Une piste éventuelle pour le relancer. Parallèlement, Twitter a taillé dans ses effectifs cet automne en licenciant 336 employés.
Avec agences