Le rachat d'Opel/Vauxhall par PSA donne naissance au numéro deux européen de l'automobile et redistribue les cartes... En attendant le Brexit.
General Motors a vendu sa filiale Opel/Vauxhall à PSA Peugeot-Citroën pour un total de plus de 2 milliards d’euros, si l’on inclut les activités de financement de l’américain.
Le
GroupePSA</a> souhaite la bienvenue à <a href="https://twitter.com/hashtag/Opel?src=hash">#Opel</a> & <a href="https://twitter.com/hashtag/Vauxhall?src=hash">#Vauxhall</a> ! <a href="https://t.co/pcyvWICep2">pic.twitter.com/pcyvWICep2</a></p>— Groupe PSA (
GroupePSA) 6 mars 2017
L’accord a été finalisé lundi et toutes les parties prenantes ont rivalisé d’optimisme quant à l’avenir du marché automobile européen.
EU #automotive companies continue to increase their investments in #innovation | Infographic: R&D growth in the automotive sector pic.twitter.com/uDJALCld1o
— ACEA (@ACEA_eu) 8 mars 2017
Toutefois, les dizaines de milliers d’employés d’Opel et Vauxhall sont inquiets.
Alors que les complexes négociations étaient en cours, la chancelière allemande Angela Merkel avait assuré qu’elle ferait tout son possible pour garantir la sécurité des emplois d’Opel en Allemagne.
German Chancellor Angela Merkel has vowed to protect General Motors jobs – Daily Mail https://t.co/7dMS6M1bfJ
— Move Jobs (@move_jobs) 18 février 2017
Les employés britanniques de Vauxhall semblent à présent plus menacés.
MPs call on Theresa May to protect hundreds of jobs at Vauxhall planthttps://t.co/qCIR3dkSNUpic.twitter.com/B9atWODJ1V
— Mirror Politics (@MirrorPolitics) 6 mars 2017